Le projet Petit musée de l’errance fonctionne à la manière d’une autofiction. Y sont rassemblés les indices témoignant de ma quête de transcendance absurde : celle d’entrer en relation avec le monde en confondant mon existence avec celle du sol, de la terre.

Installation.
Gazon, terre, engrais, planches de contreplaqué, chloroplaste, plastique translucide, cage à poules, plaquettes de métal doré.
Dimensions variables.
2019.